Souplex vigilance

Si dans l’immobilier, le souplex est la contraction de “duplex” et de « sous-sol”, permettant le plus souvent d’acquérir des m2 à un prix bien inférieur à celui d’un rez de chaussée, faut-il encore être particulièrement attentif à la présence d’équipements présentant potentiellement des risques.
Si dans le cadre d’un investissement immobilier destiné à la location de courte durée, Mme et Mr A. ont fait l’acquisition d’un souplex dans une copropriété de 5 lots principaux dans le quartier SAINT JUST du vieux Lyon, montée du Gourguillon juste en contrebas de la basilique de FOURVIERE, ils étaient bien loin d’imaginer les difficultés à venir.
Dans ce lot d’habitation vacant depuis plusieurs années, composé d’une première surface en rez-de-chaussée et d’une seconde en sous-sol (Ex caves), c’est donc cette dernière surface desservie en interne par un escalier métallique hélicoïdal, qui a été généreusement inondée suite à la rupture d’éléments vétustes du réseau d’évacuation des eaux usées et eaux vannes de l’immeuble, présents dans cet espace, qui lors d’un violent orage d’été, n’ont pas résisté à un énorme refoulement du collecteur communal.
Pour ce type de bien immobilier, on relèvera qu’il n’est pas suffisant de retenir l’attractivité de sa valeur vénale, il est de la plus haute importance d’identifier les éléments potentiellement à risque.

G. Reynier

Par Contributeur D.

Ascenseur guillotine

Au regard de la scéne qui s’est déroulée dans cet immeuble de type HAUSSMANNIEN dans le 6iéme Art de LYON, équipé d’un ascenseur rétro, il s’agit là d’un évènement à la fois dramatique et heureusement peu commun.

Tout commence par la présence sur l’immeuble de Mr J, qui au cours d’une matinée des années 90 rend visite à Mme B, copropriétaire d’un appartement au 3iéme étage.

Après que Mr J. ait actionné la sonnette pour annoncer son arrivée l’adorable chat de Mme B.. ayant profité de l’entrebaillement de la porte paliére de l’appartement pour investir la cage d’escalier, aussitôt Mme B et Mr J. se sont mis à rechercher le félin dans les parties communes de l’immeuble, sans résultat.

Pensant que le chat aurait pu tomber dans la cage d’ascenseur, c’est à la suite d’une escalade et penché au-dessus de la grille métallique de la cage d’ascenseur au niveau du palier du 3iéme étage, qu’accidentellement l’un des pieds de Mr J. déclenche l’appel de la cabine, qui en provenance du 5iéme étage, a eu un effet guillotine sur la personne de Mr J.

SI cet accident malheureusement mortel est survenu avant les décrets imposant une mise aux normes des ascenseurs, on ne peut que regretter leur parution tardive.

Par Contributeur D.

Copropriété Beaujolais Nouveau

C’est à l’initiative des copropriétaires de ce charmant et sympathique ensemble immobilier «LES FLORALIES» comprenant une dizaine d’appartements, que la tradition consiste à tenir l’assemblée générale annuelle dans l’immeuble le 3iéme Jeudi du mois de Novembre.

Qu’elle n’a pas été la surprise de Mr G. gestionnaire de cette copropriété, lorsqu’à son arrivée sur les lieux, il est accueilli par les membres du conseil syndical, qui lui proposent de se rendre dans le local commun situé au rez de chaussée, afin de déposer le filet de la table de ping-pong.

Si toutefois l’éclairage était un peu lugubre, l’attitude des copropriétaires ayant pris place autour de la table de ping-pong, apportait une ambiance bon enfant, peu commune.

Mr G. n’en était là qu’au début des surprises, car après avoir levé la séance de l’assemblée générale en soirée, la table de ping-pong à été investie pour faire place à une dégustation de Beaujolais nouveau, accompagnée bien évidemment de charcuterie Lyonnaise et de fromages des plus savoureux.

C’est ainsi que la tenue de l’assemblée générale programmée systématiquement chaque 3iéme Jeudi de Novembre, jour officiel de la sortie du Beaujolais nouveau, est un bon moyen de joindre l’utile à l’agréable .

Par Anonyme A.

Malversations profits indus

C’est dans une copropriété de 210 logements construite dans les années 90, que des investisseurs privés ont fait l’acquisition de studios en vue de leur location auprès d’étudiants.

Pour la gestion de cet ensemble immobilier c’est à la suite d’une opération de recrutement que la régie V. S. s’est attachée à confier le poste de gardien concierge à Mme A., qui après quelques mois d’activité à eu un comportement au-delà du raisonnable.

Dans un premier temps, au lieu d’occuper le logement de fonction (T3) mis à sa disposition sur site conformément à son contrat de travail, Mme A. n’a rien trouvé de mieux que de le louer à des individus au comportement peu recommandable pour améliorer ainsi ses revenus.

Dans un deuxième temps, sans pour autant se satisfaire de cette situation, Mme A. s’est autorisée à mettre à la location plusieurs studios à son seul profit et ce à l’insu de leurs propriétaires, qui ceux-ci éloignés géographiquement de la Résidence, étaient désespérés de voir que leur retour sur investissement, initialement annoncé par le promoteur, tardait à venir.

A la suite de sa prise de fonction dans le cadre d’une mutation interne, Mr R. de la Régie V. S. s’étant rapidement rendu compte des malversations, à mis la pression sur Mme A, qui après quelques mois en arrêt maladie pour dépression, a convenu de donner sa démission.

En suite, c’est au cours d’une assemblée générale ordinaire particulièrement houleuse, que la régie V. S. à toutefois obtenu le renouvellement de son contrat de syndic et au cours de laquelle Mr R. a annoncé avoir l’opportunité de faire appel à un ex-gendarme nouvellement retraité.

C’est ainsi qu’avec cette nouvelle recrue assistée de son épouse, que Mr R. a su remettre de l’ordre dans la résidence et redonner confiance aux copropriétaires.

Par Anonyme A.

Si le pot au feu m’était compté

Cette histoire ne relève pas d’un repas pris dans un restaurant étoilé, mais tout simplement d’un pot-au-feu partagé en famille dans un appartement au 4iéme et dernier étage d’un immeuble de 14 lots principaux, particulièrement tranquille sur la commune de TASSIN LA DEMI LUNE.

A l’issue du repas, bien intentionné un membre de cette famille vient vider dans la cuvette WC dudit appartement, le bouillon contenu dans le récipient de cuisson du pot-au-feu.

Sans pour autant préciser l’acte survenu ces derniers jours dans son appartement, Mme F. s’empresse d’informer par téléphone Mme C. gestionnaire de l’immeuble, qu’elle avait constaté ces derniers jours un dysfonctionnement de l’évacuation du WC de son appartement. Mme C. partant du principe que le problème affectait un équipement privatif, recommande spontanément à Mme F. de solliciter les services de la Sté H. spécialisée dans le curage/débouchage de réseaux d’évacuation de toute nature.

C’est ainsi que les jours suivants, en fin d’intervention le technicien de la Sté H. a resservi avec la plus grande délicatesse à Mme F., les 2 os à moelle qu’il s’est attaché à retirer non sans difficulté de la cuvette WC.

Dans cette histoire on ne peut que souhaiter bon appétit à cette belle famille…. !

Par Anonyme A.

Piscine en souplex

Dans un immeuble situé dans l’un des arrondissements de la 3iéme ville de France, plusieurs copropriétaires présents à leur domicile en début de matinée ont été dérangés par un bruit assourdissant, ainsi que des vibrations impressionnantes au niveau du gros œuvre du bâtiment.

Après ses investigations menées in situ, Mr D. Pdt du conseil syndical, alerte par téléphone le syndic de ladite copropriété, en précisant qu’il venait de constater que Mr G. copropriétaire faisait réaliser une piscine dans sa vaste cave privative située en sous-sol de l’immeuble.

En se rendant immédiatement sur les lieux, Mr R. responsable du Sce Technique de la Régie M. s’est adressé à l’instigateur des troubles de voisinage, lui ordonnant d’arrêter immédiatement l’exécution de ses travaux, au motif d’absence, d’étude technique, de démarche administrative et de demande d’autorisation faite auprès du syndicat des copropriétaires.

Après de nombreux échanges sur les procédures à entreprendre, Mr G. a convenu de solliciter les services d’un cabinet d’architecte, dont le dossier porté à l’ordre du jour d’une assemblée spéciale, a finalement été adopté à la majorité de l’article 25.

Par Anonyme A.

A. G. et chantier à haut risque

Dans le cadre de l’assemblée générale ordinaire de la copropriété implantée sur le 4iéme arrondissement de LYON, lors de l’annonce du résultat du vote portant sur la décision à prendre de procéder à la réfection de la toiture de type SHEED du bâtiment regroupant 100 garages, au motif de ne pas pouvoir faire face au règlement de sa quote-part du montant des travaux, Mr F. propriétaire de 25 box individuels/fermés, manifeste violemment son opposition, proférant même en public des menaces de mort à l’encontre de Mr R., qui au sein du cabinet d’administrateur de biens D. C., assure la gestion de cette copropriété.

A la stupéfaction de Mr B. assurant la maîtrise d’œuvre des travaux, Mr F. s’est autorisé à se présenter à la première réunion de chantier armé d’un fusil de chasse, sans toutefois mettre à exécution ses propos, ce qui a été relativement rassurant pour la suite du chantier.

Par Anonyme A.